• Enseigner au Québec lorsque l'on n'a pas fait ses études dans ce pays n'est pas une mince affaire. Il faut être titulaire d'un permis d'enseigner. Et c'est là que le parcours du combattant commence ! Dans un premier temps, il faut obtenir une évaluation comparative des études effectuées hors du Québec délivrée par le ministère de l’Immigration et des Communautés culturelles. Elle indique à quoi correspondent les études effectuées hors du Québec par rapport au système scolaire québécois et à ses principaux diplômes (ou repères scolaires). Pour en savoir plus c'est ici que ça se passe : http://www.immigration-quebec.gouv.qc.ca/fr/emploi/evaluation-comparative/index.html 

    Une fois cette évaluation comparative obtenue, je pourrai effectuer les démarches pour être titulaire d'un permis d'enseigner.

    Le 15 novembre 2012, j'ai envoyé les documents relatifs à l'évaluation comparative des études, et pour le moment je n'ai pas de réponse, mais le paiement (85€) a bien été effectué ;-). Il semblerait que mon dossier soit étudié d'ici deux mois. Affaire à suivre !

    Mise à jour du 25 février : toujours pas traité.

    Mise à jour du 4 avril : Mon dossier est enfin ouvert !!! D'ici un mois, je devrais recevoir mon évaluation comparative et je devrais pouvoir commencer les démarches pour obtenir le permis d'enseigner. Il est possible que je puisse donc postuler à la commission scolaire de Montréal dès septembre ! 

    Mise à jour du 10 mai : toujours aucune nouvelle depuis la lettre du MICC. Je commence à désespérer ... Actuellement sont traités les dossiers reçus entre le 4 et le 9 octobre.

    Mise à jour du 11 juin : d'après les dernières données, mon dossier devrait être traité ... mi-septembre, autant dire que c'est râpé pour la rentrée prochaine, et que ça va être davantage retardé car le temps que le courrier arrive à Paris, soit réexpédié en Normandie, puis de nouveau à Montréal on perdra encore quelques semaines ! Allez y'a plus qu'à se reconvertir :-)

    Mise à jour du 2 février 2014 : Il était temps ! Mais j'ai eu la joie de recevoir pour Noël 2013 mon évaluation comparative !!!! Résultat des courses : tous mes diplômes jusqu'à la licence (équivalent du baccalauréat ici au Québec) sont reconnus. C'est déjà une bonne chose. A partir de maintenant (enfin ça attendra la reprise du travail après le congé maternité quand même ! ) je vais pouvoir faire reconnaître mon diplôme de professeur des écoles auprès du Ministère de l'Education du Loisir et du Sport (MELS). A priori, il me manquera quelques crédits universitaires, ce qui signifie quelques mois de formation à faire, mais je ne désespère pas reprendre mon ancien job d'ici quelques années !


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  • Depuis le 20 décembre, je suis donc suivie par le centre de soins ambulatoires de l'hôpital Maisonneuve-Rosemont, à l'est de l'île de Montréal, à 7 ou 8 km de chez nous. C'est un hôpital en rénovation mais la partie "soins ambulatoires" est toute neuve et très bien aménagée. Là-bas ça ne rigole pas avec les maladies nosocomiales, tu le laves les mains à la solution hydroalcoolique à l'entrée de l'hôpital, puis en arrivant dans le service de gynécologie, puis encore quand tu ressors. Et si tu as ne serait-ce qu'une petit rhume, tu as le droit au masque ! Chaque patient est bien discipliné et respecte les mesures d'hygiène, tu lécherais le sol presque tellement c'est propre et aseptisé.

       

    L'aile des naissances, située au 7è étage (j'aurais peut-être la chance d'avoir une belle vue sur la ville de Montréal en allant accoucher là-bas...), est plus ancienne mais pas pire (="bien" en québécois).

     

    Pour les Normands, l'architecture me fait penser à l'hôpital de Lisieux, avec sa forme en étoile.

    Bref, le 20 décembre, j'ai donc eu mon 1er rendez-vous de suivi de grossesse à l'hôpital et j'ai tout de suite été rassurée quant à la prise en charge médicale en milieu hospitalier, ici au Québec. Parce qu'on avait entendu pas mal de choses négatives, j'y allais avec quelques appréhensions. Alors certes, c'est un peu l'usine, le rendez-vous ne dure pas longtemps mais honnêtement, j'avais plus de peine pour les médecins qui travaillaient à la chaîne et qui essayaient de faire au mieux pour chacune des patientes, que pour moi et mes petites angoisses...

    Bon, il faut d'abord se faire au système d'accueil : tu prends ton ticket comme à la boucherie et tu attends, pour présenter ta carte d'hôpital (petite carte bleue spécifique à chaque hôpital public qui prouve qu'on est suivi dans l'établissement et qui permet à chaque secrétariat d'obtenir toutes les données personnelles du patient), ta carte de RAMQ (= assurance maladie), ta carte d'assurance privée si besoin. Ensuite, tu attends encore, parfois trèèèèèèèèèès longtemps, en moyenne 1H30, même si tu as un rdv à une heure fixe, car les médecins sont à la fois aux soins ambulatoires et de garde dans le service des naissances ... donc dès qu'une maman accouche ... le médecin monte au 7ème étage et toi tu continues d'attendre qu'on t'appelle. Puis, tu es reçue par les infirmières des soins ambulatoires, au centre du service. Ici, pas trop d'intimité, en général, on est au moins deux patient(e)s dans la même pièce, et là c'est le check up : tension, pesée, analyse d'urine (yeah tu arrives avec ton petit tube de pipi du matin, la classe !) et puis c'est tout, tu retournes en salle d'attente, jusqu'à ce que le médecin-obstétricien soit disponible. Là fort heureusement, tu es installée dans un petit cabinet d'examen, et rapidement, le médecin te pose quelques questions quant aux mouvements foetaux, aux contractions, à ton état de forme général. Puis il écoute le rythme cardiaque du bébé, et si tout va bien, merci et au revoir, à la prochaine, c'est à dire dans trois semaines ! Ok, pas de questions, tu repars avec ton dossier sous le bras dans la salle d'attente, tu reprends un petit ticket spécial boucherie et tu attends qu'on te rappelle pour rendre le dossier et prendre ton prochain rdv. Résultat des courses, un peu de frustration parce que tu attends beaucoup pour peu de temps passé en consultation, mais on répond à tes questions et les contrôles principaux sont effectués. Pour le prochain rdv, j'ai des prises de sang à faire (dans le même bâtiment au RDC et pour le coup, c'est le même fonctionnement : accueil, ticket, présentation des documents d'identification et ordonnance, attente très lonnnnngue, prise de sang dans une salle d'exam où on est 4 patients pris en charge en même temps, et au revoir). J'ai demandé à faire contrôler mon immunité face à la toxoplasmose, parce que ici, on te contrôle au début, et puis que tu sois positive ou négative, c'est pareil, ce n'est pas une affaire importante, tu respectes les règles d'hygiène et il n'y aura pas d'autre contrôle pendant 9 mois. Mais comme je suis une maudite française, le médecin a bien voulu me prescrire ce petit test !

    Le 10 janvier : nouveau rdv de contrôle, même fonctionnement. Sauf que cette fois-là, ça a été un peu plus chaotique ! Mais c'est là que j'ai pu me rendre compte de la fiabilité et du sérieux du système de santé québécois! Donc après le check-up effectué par les infirmières, en compagnie de Pierre, je me rends dans le petit cabinet pour rencontrer le médecin. Pierre, qui avait déjà pris pas mal de retard pour aller au travail me laisse seule, tout va bien donc pas de souci. Sauf que lors du contrôle du rythme cardiaque du bébé, on se rend compte que le coeur bat anormalement doucement. Et là c'est le drame !!!! Tu flippes et tout s'accélère autour de toi et dans ta petite tête de femme enceinte en proie aux doutes, à l'éloignement familial ... bref tu pleures ! Mais là, l'infirmière te prend en charge et c'est parti pour un monitoring d'une heure, en compagnie d'une autre maman pour qui c'est encore pire que moi, le médecin n'entend même pas le coeur. Je ravale mes larmes et me dit que au moins, celui de ma cacahuète est perceptible et j'angoisse pour la dame allongée à côté de moi. Heureusement, au bout de 10 minutes et les tentatives de trois infirmières différentes, on entend enfin le coeur de l'autre bébé. Après une heure de monitoring, le médecin est un peu rassuré mais préfère me transférer au service des naissances pour faire une écho de contrôle et au cas où ... intervenir ! Yeah !!!! Et je vis ça toute seule de mon côté car je n'ai pas encore eu l'occasion de prévenir Pierre. Au moment du transfert, j'en profite pour l'appeler et il me rejoint en à peine 30 minutes ! Quelle rapidité, en fait c'était le test pour le jour-J !!! Test réussi Monsieur Villain, vous êtes prêt . C'est donc là qu'on a pu "visiter" le service des accouchements et prendre un peu nos marques quelques semaines en avance. Au final, tout va bien, le coeur bât normalement, il n'y a pas d'anomalie a fortiori ... et c'est donc 7h après mon arrivée au service des consultations que nous ressortons rassurés sur l'état de santé de notre petit garçon. Et malgré l'attente, je dois dire que la prise en charge a vraiment été efficace et que tout le monde a essayé de me rassurer. Mais à partir de cette date, je serai suivie toutes les semaines pour contrôler que le coeur de BB ne nous refasse pas de nouvelles mauvaises surprises.

    Donc depuis ma 34ème semaine, j'ai rdv tous les vendredis à l'hôpital pour le petit check-up et l'entretien avec le médecin. Et ça continuera comme ça jusqu'à l'accouchement.

    Donc en résumé, même si la prise en charge en milieu hospitalier peut dérouter les petits français que nous sommes (accueil à la chaîne, manque d'intimité lors des check-up avec les infirmières, entretien très court avec le médecin), tout est fait avec beaucoup de sérieux et s'il y a le moindre doute sur l'état de santé du patient, tout est mis en oeuvre pour répondre à son problème rapidement. Et pour information, lorsqu'on est bénéficiaire de la RAMQ, tout est pris en charge, pas de frais à avancer, donc rien à envier au système français. 

    Lors de mon dernier rdv, vendredi 17 janvier, j'ai reçu la liste des affaires que je dois mettre dans ma valise pour mon séjour à la maternité. Ici, le séjour dure à peine 48h alors pas besoin de grand chose ... sauf qu'après l'avoir faite, je me rends compte qu'elle est quand même bien remplie ! Bon j'ai juste mis une dizaine de tenue pour Cacahuète ... pas encore né mais déjà victime de la mode .

    préparation valise maternité


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  • Pendant les vacances, nous sommes allés visiter l'exposition organisée par le Musée des Beaux Arts de Montréal. En effet, pour les 15 ans de la création de la maison d'édition de bandes-dessinées La Pastèque, le musée présente une exposition gratuite mettant en avant quinze bédéistes qui ont fait son succès au fur et à mesure du temps : Isabelle Arsenault, Pascal Blanchet, Paul Bordeleau, Pascal Colpron, Cyril Doisneau, Patrick Doyon, Jean-Paul Eid, Pascal Girard, Réal Godbout, Janice Nadeau, Michel Rabagliati, Marc Simard, Rémy Simard, Siris et Leif Tande. Le concept est simple : chaque bédéiste, après une visite au MBAM, a choisi une oeuvre de la collection et s'en est inspiré pour créer un récit inédit. Le choix des artistes est très varié : d'une toile de Joan Miro à des objets d'arts décoratifs tels qu'un tourniquet de métro ou une chaise design, ou bien encore des sculptures et des oeuvres plus contemporaines. L'oeuvre originale et la planche qu'elle a inspirée sont installées côte à côte, tel un miroir. Des photos, des vidéos et des entrevues nous font découvrir le processus de création des artistes.

    J'ai notamment apprécié le travail de Michel Rabagliati, l'auteur du célèbre Paul ! Un récit créé à partir d'une toile de Miro, Tête (1976), et faisant avantageusement hommage à l'artiste espagnol dont on célébrait la 30è année de disparition, en y intégrant tout l'humour dont Rabagliati peut faire preuve dans ses propres BD... un vrai plaisir.

         La BD s'expose au Musée des Beaux Arts de Montréal

            Tête, Juan Miro                                                     Michel Rabagliati

    J'aurais bien ramené ses belles planches à la maison !!! Pour celles et ceux qui ne connaissent pas Paul et ses multiples aventures ... je ne peux que vous encourager à les lire.

    Paul est une sorte de double de Rabagliati. Ces albums relatent des tranches de la vie de Paul, depuis son enfance jusqu'à sa vie adulte. Paul est un héro banal confronté aux aléas de l'existence humaine : le travail, les amis, les tracs du quotidien, la vie de couple, l'arrivée d'un enfant ... C'est ce rapport au quotidien mais aussi à son passé et aux lieux de son enfance qui font le charme de ces récits fictionnels à la fois drôles, émouvants et nostalgiques. Ils permettent de découvrir et de mieux comprendre certains aspects de la culture québécoise.

    Si vous avez envie de découvrir Michel ou Paul, c'est ici: http://www.michelrabagliati.com/Bienvenue.html

    Nous avons aussi apprécié le travail de Patrick Doyon qui à partir d'une sculpture en bronze de Barry Flanagan intitulée Joueur de Tambourin, a créé un récit hilarant mettant en scène un lapin qui annonce à divers reprises La Fin du monde.

    Barry Flanagan

     Joueur de Tambourin, B. Flanagan 

    La fin du monde, Patrick Doyon

    Et pour votre culture, si vous avez envie de découvrir les oeuvres littéraires d'autres artistes édités par La Pastèque, je vous conseille :

    Jeanne, le renard et moi, d'Isabelle Arsenault.

    http://www.lapasteque.com/Jane,_le_renard_et_moi.html

     

    Le Petit tabarnac, de Jacques Goldstyn.

    http://www.lapasteque.com/Le_petit_tabarnac.html

     

    Pour plus d'informations concernant l'exposition, c'est ici : http://www.mbam.qc.ca/expositions/a-laffiche/la-pasteque

    En plus c'est gratuit, alors profitez-en, ils sont exposés jusqu'au 30 mars 2014 !!!


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  • Du 6 au 22 décembre se tenait le salon des métiers d'art de Montréal à la Place Bonaventure, juste à côté de mon lie de travail. Du coup, nous sommes allés y faire un petit tour en famille. Et oui car du 16 décembre au 10 janvier, nous avons eu le plaisir d'accueillir une partie de la famille: Maëlle, Morgan et les deux loulous Oscar et Gustave !

    La Place Bonaventure c'es un grand immeuble à bureaux construit en 1967, où ont lieu la plupart des grands congrès et salons. C'est le centre d'exposition par excellence de Montréal.

    Le salon des métiers d'art de Montréal

    Et ce qui est très appréciable, quand c'est l'hiver à Montréal, qu'il fait froid, qu'il neige et que de mettre un petit bout de peau dehors est une torture à la fois physique et psychologique, c'est que la Place Bonaventure est accesssible par les corridors du RESO, donc par le métro donc ... par le sous-sol de notre immeuble ! Oh bonheur !!! On ne réfléchit donc pas très longtemps, l'activité d'un samedi après-midi est toute trouvée !

    Cet énorme espace couvert accueillait cette année la 58ème édition du salon des métiers d'art, événement réputé ici à Montréal, car c'est une formidable vitrine pour les 387 artisans et artistes qui y participaient. Et ayant lieu juste avant les fêtes de fin d'année, il permet de faire quelques belles trouvailles qui prendront place au pied du sapin quelques jours plus tard !!! On peut y admirer des articles de mode (vêtements, bijoux...), de décoration (poterie, luminaires...), de jeux en bois, d'instruments de musique et goûter des petites gourmandises locales.

    C'est ainsi que nous avons pu déguster (et acheter parce que oui, on craque facilement !) :

    - les canneberges séchées à l'orange et les canneberges enrobées de chocolat noir du fabriquant Nutra-Fruit. Un délice!!!

    Canneberge séchée ORANGE 454g      Canneberges enrobées de chocolat noir cône200g

    - les vinaigrettes de Mechant mix, l'une à la fraise, au balsamique et au poivre rose, l'autre à l'orange et au gingembre. C'était parfait pour accompagner le médaillon de foie gras de notre repas de Noël !!! Nous avons aussi craqué aussi pour le mélange d'épices "carri-coco". Huummm, à tester si vous ne connaissez pas !

    Vinaigrette  fraise balsamique poivre rose     Vinaigrette orange et gingembre     Cari-Coco

     

    - les cidres de la Cidrerie Du Minot :

    Clos du Minot Tradition Réalisé à partir de pommes Mcintoch (nos préférées !!!), ce cidre mousseux, avec une très faible teneur en alcool (0,5% alc / vol) et en calorie (donc tout ce qu'il me fallait pour passer de bonnes fêtes arrosées), a un bouquet intense de pommes fraîches, légèrement acidulé.

    Le Du Minot Brut est un cidre brut à fine effervescence, aux arômes de pomme mûre,Du Minot Brut

    de poire avec des notes d'épices. Il se consomme très bien à l'apéritif, et accompagne à merveille les crêpes salées ou sucrées.

    Du Minot des Glaces Le Du Minot des Glaces est un cidre de glace obtenu par une harmonieuse combinaison de de deux procédés : la "cryoextraction" qui consiste à broyer et presser des pommes gelées durant l'hiver alors que la "cryoconcentration" consiste à geler le moût également l'hiver pour en extraire un sirop concentré en sucre et en saveurs. Ces différents moûts sont fermentés à basse température durant 6 à 8 mois puis assemblés pour donner ce cidre qui goûte boooonnnnnn comme on dit icitte ! Il en résulte un cidre de 10% alc / vol, aux arômes subtils et complexes, onctueux en bouche.

    Nous avons également apprécié le travail de deux artisans :

    - les instruments de musique fabriqués par l'Association Tamboa. Il s'agit de percussions d'origines africaine, latine et océanique, réalisées à partir du bois de cerisier d'automne. Les couleurs chatoyantes et les sons mélodieux nous ont séduits et nous avons donc acheté un Kalimba qui bercera si besoin les débuts de nuit difficiles de notre cacahuète !

     

    Le salon des métiers d'art de Montréal

     

    Pierre sait déjà jouer "au clair de la lune" !

    - les puzzles (appelés "casse-têtes" ici au Québec) en bois, mais d'on ne sait plus quel artisan :-(. D'ailleurs, le Père Noël a bien vu ce jour-là qu'Oscar avait beaucoup aimé ces puzzle car il lui en a déposé un au pied du sapin le jour de Noël !

     

    Le salon des métiers d'art de Montréal

    Et le clou de la sortie fut bien sûr la rencontre avec le vrai de vrai Père Noël ! Un peu impressionné le petit Oscar, mais on a eu le temps d'immortaliser ce beau moment :

    Le salon des métiers d'art de Montréal

     


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  • Au Québec, on ne fait que deux échographies au cours de la grossesse et non pas trois comme en France. Autant vous dire qu'il faut vraiment profiter de cet examen car c'est la dernière fois que vous verrez le profil de bébé avant sa naissance !

    Comme j'ai obtenu mon 1er rdv médical au cours de ma 22è semaine, j'ai fait cette nouvelle échographie un peu plus tard que ce qui est prévu en temps normal, c'est à dire au cours de ma 24è semaine.

    Que dire à part que c'était encore un merveilleux moment que nous avons pu apprécier pendant quasiment une heure encore en compagnie d'une échographiste adorable. C'est là que nous avons appris le sexe du bébé ....

    un petit garçon !

    Nous qui étions persuadés d'avoir affaire une petite fille (cf l'arrivée en fourbe !), nous avons été surpris ! Il faut dire que l'on pensait que le quotas de garçons avait été atteint dans la famille (à mon plus grand désespoir !) et bien non, Mamie Jo il faudra encore attendre pour jouer à la poupée avec une petite fille ! Mais tu es déjà bien rodée pour un 3ème petit-fils !!!

    Le bébé mesurait alors 26 cm et pesait 687 grammes environ. Toujours très actif ! Et tout était là, à la bonne place :-) Nous sommes repartis avec notre DVD et nos photos :

    La 2ème échographie

    La 2ème échographie

    Reste plus qu'à profiter alors de notre fin de grossesse et à :

    - trouver un prénom

    - aménager la chambre

    - acheter une garde-robe digne de ce nom !

    - assister au cours de préparation à l'accouchement

    - annoncer aux chefs que je suis enceinte (et non ce n'est pas une blague mais bon depuis l'écho je leur ai tout dit!!! )

    - envisager le congé maternité et parental

    - profiter de nos dernières semaines de couple sans enfant (restos, sorties ...)

    - et garder ce petit être cher bien au chaud jusqu'au bout en lui apportant tout l'amour dont il a besoin pour grandir encore !

    Je suis ouverte aux suggestions donc n'hésitez pas !


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